L’Autorité palestinienne définit « la Palestine » : Tel-Aviv, Haïfa, la Galilée, le Néguev, Rosh Hanikra, Césarée, Acco, Massada, Beit Shean et Jérusalem
Contrairement aux allégations de l’Autorité palestinienne (AP) qui affirme reconnaître l’existence d’Israël, la télévision et les événements culturels qu’elle contrôle continuent de diffuser le message de non-reconnaissance d’Israël et définissent tout Israël comme « la Palestine ».
Cette semaine, une émission de la télévision de l’AP pour adolescents présentait un court clip vidéo qui s’ouvrait sur les mots à travers l’écran : « La Palestine : Nous reviendrons un jour à la maison », suivis d’une série de photos de villes et de régions en Israël, dont les noms étaient affichés sur l’écran, y compris : Tel-Aviv, Haïfa, la Galilée, le Néguev, Césarée, Acre et Jérusalem. La TV de l’AP montrait également une photo de Massada, faussement intitulée :
« les montagnes de Jéricho ».
Après avoir montré les villes et les régions israéliennes, l’animateur TV de l’AP a dit :
Dans un récent événement du Fatah qui s’est tenu en présence de Mahmoud Abbas et de plusieurs autres hauts représentants de l’AP, un chanteur palestinien a défini la terre palestinienne « vers laquelle je reviens » comme s’étendant de Rosh Hanikra, au nord d’Israël, à Rafiah dans la bande de Gaza au sud, et de Haïfa, sur la côte ouest israélienne jusqu’à Beit Shean, à la frontière est israélienne.
Voici les paroles de la chanson interprétée lors de l’événement du Fatah :
Cette semaine, une émission de la télévision de l’AP pour adolescents présentait un court clip vidéo qui s’ouvrait sur les mots à travers l’écran : « La Palestine : Nous reviendrons un jour à la maison », suivis d’une série de photos de villes et de régions en Israël, dont les noms étaient affichés sur l’écran, y compris : Tel-Aviv, Haïfa, la Galilée, le Néguev, Césarée, Acre et Jérusalem. La TV de l’AP montrait également une photo de Massada, faussement intitulée :
« les montagnes de Jéricho ».
La photo de la Galilée, qui n’était pas titrée, représentait l’ancienne synagogue de Capharnaüm [Kfar Nahoum]. La Bible chrétienne cite la synagogue de Capharnaüm comme l’endroit où Jésus a enseigné le Shabbat [Luc, 4, 31-37].
Après avoir montré les villes et les régions israéliennes, l’animateur TV de l’AP a dit :
« Cette [vidéo] est notre cadeau à la Palestine et à tous les Palestiniens de l’intérieur et de l’extérieur, et à travers le monde. »
[TV de l’Autorité palestinienne (Fatah), le 11 avril 2011]
Dans un récent événement du Fatah qui s’est tenu en présence de Mahmoud Abbas et de plusieurs autres hauts représentants de l’AP, un chanteur palestinien a défini la terre palestinienne « vers laquelle je reviens » comme s’étendant de Rosh Hanikra, au nord d’Israël, à Rafiah dans la bande de Gaza au sud, et de Haïfa, sur la côte ouest israélienne jusqu’à Beit Shean, à la frontière est israélienne.
Voici les paroles de la chanson interprétée lors de l’événement du Fatah :
« Nous nous engageons et promettons de te soutenir, ô Mahmoud Abbas, jusqu’au Jour du Jugement. Je reviens à toi, la terre la plus pure, ô la terre de liberté. Peu importe la longueur des nuits de l’exil, je reviens à toi, ô terre. De Rafiah à Rosh Hanikra (nord d’Israël) et Beit Shean (ville israélienne) [s’étend] notre côte. Au-dessus de ton sol, ô ma terre, est une vision du Jardin d’Eden. De Rafiah à Rosh Hanikra notre côte, et Beit Shean. Au-dessus de ton sol, ô ma terre, est une vision du Jardin d’Eden. De Rafiah à Rosh Hanikra, au nord et au sud, sont les frontières de cette vision. De Haïfa (ville israélienne) et Tantura à la vallée [du Jourdain] (c’est-à-dire tout Israël). Je reviens à toi, la terre la terre la plus pure, ô terre de liberté. »
[TV de l’Autorité palestinienne (Fatah), le 27 février 2011]